Six raisons pour lesquelles vous ne devriez pas venir à B-lev !!!

Six raisons pour lesquelles vous ne devriez pas venir à B-lev !!!

  • 1. Trop de bavardages en français :
    Si vous préférez le silence et la tranquillité, oubliez B-lev ! Ici, c’est discussions animées et rires constants en français. Trop de joie peut vous fatiguer.
  • 2. Inspiré par trop de culture :
    Vivant entre Jérusalem et Tel Aviv, vous serez bombardée par l’histoire et la culture à chaque coin de rue. Attention, votre cerveau pourrait surchauffer !
  • 3. Trop de soutien, c’est étouffant :
    Si vous aimez faire cavalier seul, préparez-vous à être submergée par des colocataires attentionnées prêtes à vous aider. Trop de câlins et d’encouragements peuvent être perturbants.
  • 4. Événements sociaux non-stop :
    Des activités et des événements exclusifs ? Qui a le temps pour tant de plaisir ? Si vous êtes une ermite autoproclamée, ces soirées et ateliers pourraient être un véritable cauchemar.
  • 5. Intégration trop facile :
    Grâce au concept de coliving de B-lev, votre intégration en Israël sera un jeu d’enfant. Où est l’aventure dans se sentir immédiatement chez soi et bien entourée dès votre arrivée ? Trop de facilité peut gâcher le plaisir des défis.
  • 6. Situation trop pratique :
    Situé en plein centre-ville de Jérusalem et Tel Aviv, à côté du tram et des transports en commun, B-lev vous offre une accessibilité sans pareille. Trop de commodité peut vous faire oublier le charme des longs trajets et des galères de transport.

Bref, B-lev est un endroit tellement formidable qu’il pourrait bien ruiner vos plans de solitude et d’ennui. Réfléchissez-y bien avant de vous embarquer dans cette aventure de coliving pleine de vie, de rires, de commodités et d’intégration parfaite en Israël !

Au cœur de B-Lev

Au cœur de B-Lev

INITIATIVE

Le rav Avraham Lemmel et son épouse Léa ont fondé B-Lev afin d’accueillir des jeunes filles francophones dans des appartements à prix réduit à Jérusalem et à Tel Aviv. Les participantes bénéficient d’un encadrement et d’un accompagnement pour s’intégrer en Israël.

Le premier centre B-Lev a ouvert ses portes à Jérusalem en 2017. Quelques années plus tard, un autre centre a été inauguré à Tel Aviv. « Ces centres sont destinés à des jeunes filles francophones âgées de 20 à 30 ans. Les participantes sont en Israël depuis plus ou moins longtemps. B-Lev a accueilli certaines jeunes femmes au moment de leur Alyah», présente Léa Lemmel.

Certaines membres de B-Lev travaillent tandis que d’autres sont encore étudiantes. B-Lev leur propose un cadre de vie avec des cours de Torah le soir, des chabbats organisés et un accompagnement pour faciliter leur intégration en Israël. Le programme accueille jusqu’à 50 jeunes femmes à Jérusalem et 15 à Tel Aviv.

Nous créons une relation forte et personnelle avec chaque participante. Elles viennent trouver chez nous un cadre de vie, des nouveaux amis et à terme une vraie famille », explique Léa Lemmel.

Au moment de l’inscription, les candidates sont reçues par la direction de B-Lev pour un entretien en face-à-face. Les participantes sont choisies sur des critères tels que la bienveillance, et la volonté de s’intégrer en Israël et de s’investir dans le projet. Nous n’acceptons pas les filles qui sont de passage dans le pays pour deux mois, nous ne sommes pas une auberge de jeunesse », précise la cofondatrice du programme.

B-Lev fournit aux jeunes filles les moyens techniques et financiers pour organiser des événements. Des participantes ont ainsi récemment célébré la Journée internationale des droits des femmes lors d’un événement mettant en avant des femmes artisanes; et les bénéfices. ont été reversés à des femmes de soldats. Plus elles organisent des événements, mieux elles s’intègrent dans la société israélienne, ajoute Léa Lemmel.

Le programme de Tel Aviv est rattaché à la communauté du Centre Lev et les locataires du centre B-Lev ont des familles d’adoption au sein de cette communauté. À Jérusalem, les anciennes du programme parrainent les nouvelles participantes. Le programme B-Lev permet à ces jeunes filles d’être entourées et encadrées dans leur intégration. Nous mettons en relation nos participantes avec tous nos contacts pour faciliter leur Alyah, conclut Léa Lemmel.

 

 

Soirée entre filles

Soirée entre filles

✨Nous avons le plaisir de vous inviter à une soirée exceptionnelle à Jérusalem, dédiée à la créativité et à la spiritualité entre filles ! ✨

Au programme :
🍞Hafrachat Halla
👩‍🎨 Création de bougeoirs
🥗 Buffet

C’est l’occasion idéale pour partager des moments uniques dans un cadre chaleureux.

📆Lundi 8 juillet à 19h30
📍Ben sira 3, Jérusalem

Inscrivez-vous dès maintenant pour une soirée inoubliable !
https://forms.gle/cCC7d7k6sH5WKiHo8

L’INFO DOUANE en ISRAEL

L’INFO DOUANE en ISRAEL

Questions à WikipediaWoman

aka Naomie

B-lev. À combien s’élèvent les frais de douane lorsque la commande dépasse 75 dollars ? 

  1. Les frais de douane ne sont pas un montant fixe mais sont proportionnels à la valeur du prix principalement. Sur la plupart des sites étrangers, il n’est pas mentionné que les frais de douane sont dûs. C’est au moment où le colis arrive en Israël que l’on reçoit un message nous informant du montant des frais de douane, décidés arbitrairement. Contrairement à Amazon où les frais sont connus à l’avance et payés directement sur le site. 

B-lev. C’est-à-dire ? 

  1. Une fois ton panier rempli, s’il dépasse les 75 dollars, au moment du paiement, Amazon rajoute automatiquement les frais de douane. Tu devras donc payer ton panier + les frais de douane directement sur le site. Amazon s’occupera de donner ces frais directement à la douane. 

B-lev. Qu’en est-il des sites chinois comme Shein ou Aliexpress ? 

  1. Pour une raison qui m’échappe, les sites chinois ne sont pas concernés par les frais de douane !

B-lev. Comment as-tu toutes les réponses à chaque fois ? 

  1. C’est très simple. Mon savoir provient de Wikipédia. D’ailleurs, conseil à tous/toutes ceux/celles qui ont des questions, n’hésitez-pas à vous servir de ce merveilleux outil. 

B-lev. Tu as l’application Wikipédia sur ton tel. C’est vrai ? 

  1. Oui. Il s’agit de la meilleure invention. 

B-lev. Deux + deux font combien ? 

  1. Quatre. 

B-lev. Tu es très forte. 

  1. Merci Wikipédia. 

B-lev. Tu nous manques. 

  1. C’est Wikipédia qui vous manque…

On te souhaite une magnifique expérience à NY !!

Interview non sponsorisée par Wikipédia

INTERVIEW ENTRETIEN AVEC DVORAH MADELEINE

"MES ANCÊTRES ONT QUITTÉ UNE TERRE HOSTILE POUR LA TERRE PROMISE"

HOMMAGE À MA FAMILLE YITZKAR : YEHOUDA, AVRAHAM, SHATZ, TSVI ET À YOSSEF HAÏM BRENNER

Mes ancêtres, la famille Yitzkar, habitaient en Russie, aujourd’hui l’Ukraine. L’antisémitisme y régnait ; les Juifs devaient notamment consacrer 30 années de leurs vies à l’armée du Tsar. En 1919, ma famille décide de fuir les pogroms pour Israël. On est 103 ans en arrière, encore loin de l’indépendance du pays, de la start-up nation et des programmes Massa. Il n’y a rien. Habitation, eau, électricité, tout est à construire.

Ils ne sont pas religieux mais sont animés d’un sionisme pur. Ils sont prêts à tout donner pour permettre aux Juifs de vivre. Israël est alors une colonie britannique. Les tensions sont palpables entre les Arabes, les Anglais et les Juifs, de plus en plus nombreux. Elles occasionnent des morts et des blessés. Ma famille ne se méfie pas des Arabes. Elle vit dans une ferme où elle accueille d’autres immigrants juifs.

En mai 1921, Jaffa est le théâtre de violentes émeutes. Le 24 Nissan, un conflit dégénère. La maison la plus proche, celle de mes ancêtres, est assaillie par des Arabes. 

Ils sont massacrés, gratuitement. Il n’y a pas encore d’État ni d’armée pour protéger les Juifs d’un tel crime de guerre. Cette tragédie favorisera la naissance de l’organisation paramilitaire Haganah, ancêtre de Tsahal.

 זכרם לברכה

Famille Yitzkar. Debout: Avraham Yitzkar, Rivka Yitzkar-Shatz et Tsvi Shatz

Assis: Sarah Yitzkar, Batcheva Yitzkar, Yaacov Yitzkar, Rena Shatz et Yehouda Yitzkar