Étude de la Amida : Comprendre et approfondir la prière

Étude de la Amida : Comprendre et approfondir la prière

Dimanche soir dernier, un moment marquant a scellé l’aboutissement d’un cycle d’étude au Centre B-lev de Tel-Aviv : la conclusion de l’étude de la Amida, sous la direction de Léa Lemmel. Mais ce n’est pas seulement une fin, c’est une nouvelle profondeur qui s’ouvre dans la prière juive de celles qui y ont participé.

La Amida, une prière ancrée dans l’histoire juive

Les patriarches, fondateurs de la prière juive

Si aujourd’hui nous récitons la Amida trois fois par jour, c’est parce qu’un chemin a été tracé bien avant nous, par les patriarches :

  • Avraham a institué la prière du matin (Shaharit), marquant l’aube d’une relation de confiance avec D.ieu.

  • Its’hak a introduit la prière de l’après-midi (Min’ha), un moment d’introspection au cœur de la journée.

  • Yaakov a instauré la prière du soir (Arvit), un symbole de persévérance face à l’incertitude.

Chaque récitation de la Amida est une connexion directe avec cette tradition millénaire, un moyen de poursuivre l’héritage spirituel des générations précédentes.

Une structure en trois temps : Shaharit, Min’ha et Arvit

L’étude au Centre B-lev a permis aux participantes de redécouvrir la logique et la progression des bénédictions de la Amida :

  1. Les louanges – Se préparer spirituellement avant de s’adresser à D.ieu.

  2. Les demandes – Exprimer ses besoins matériels et spirituels.

  3. Les remerciements – Reconnaître la présence divine dans nos vies.

Pourquoi la Amida est-elle essentielle dans la prière juive ?

Un dialogue direct avec D.ieu

L’une des questions fondamentales abordées lors des cours a été : prions-nous par habitude ou par conscience ?

La Amida est souvent récitée de manière automatique. Mais lorsqu’on comprend chaque mot, chaque bénédiction prend une dimension profonde et personnelle. La prière devient un échange vivant entre l’homme et D.ieu, et non plus un simple texte récité machinalement.

La prière comme un réseau de connexion spirituelle

Une image marquante a émergé de cette étude : celle du télégraphe.

Dans le passé, pour permettre la communication sur de longues distances, des hommes ont traversé des terres inconnues, planté des poteaux et tiré des câbles. Grâce à eux, un message pouvait voyager d’un bout à l’autre du pays.

De la même manière, la prière juive est un réseau construit au fil des générations. Les patriarches, puis les sages, ont jalonné un chemin de communication entre l’homme et D.ieu. Chaque fois que nous récitons la Amida, nous utilisons ce canal de connexion déjà en place, tout en y ajoutant notre propre intention.

Ce que nous avons appris au Centre B-lev

L’étude approfondie de la Amida a transformé la relation à la prière des participantes :

💬 “Avant, je récitais la Amida machinalement. Maintenant, à chaque bénédiction, je ressens le lien avec les patriarches, avec l’histoire du peuple juif, et surtout avec ma propre histoire.”

Ce cycle a permis de redonner du sens et de l’émotion à chaque mot prononcé, renforçant la connexion spirituelle de chacune avec sa prière quotidienne.

Quelle suite pour les cours du dimanche soir ?

Si ce cycle d’étude se termine, il ouvre la porte à de nouvelles thématiques qui seront explorées au Centre B-lev. Les prochains cours aborderont des sujets variés, allant de la pensée juive aux défis contemporains du développement personnel, en passant par des réflexions sur la famille et la société.

📅 Rejoignez-nous chaque dimanche soir pour continuer cette quête de compréhension et d’élévation spirituelle à travers de nouveaux enseignements. Découvrez aussi nos autres cours et conférences sur le judaïsme au Centre B-lev.

En attendant, chaque prière récitée sera désormais portée par une conscience renouvelée, un souffle plus profond, une connexion plus ancrée.

L’aventure continue…


FAQ : Tout savoir sur la Amida et son étude

Qu’est-ce que la Amida ?
➡ La Amida est la prière centrale du judaïsme, récitée trois fois par jour. Elle se compose de 19 bénédictions qui expriment la louange, la demande et la reconnaissance envers D.ieu.

Pourquoi étudier la Amida ?
➡ Comprendre la Amida permet d’approfondir sa connexion spirituelle, de prier avec plus de kavana (intention) et de donner un sens plus profond aux mots récités quotidiennement.

Quels sont les nouveaux thèmes abordés au Centre B-lev ?
➡ Le Centre B-lev propose désormais des cours explorant diverses thématiques du judaïsme, allant de la pensée juive aux défis de la vie moderne. Rejoignez-nous chaque dimanche soir pour découvrir ces nouveaux enseignements !

Mon premier Chabbat à Jérusalem – Journal d’une Parisienne en Terre Sainte

Mon premier Chabbat à Jérusalem – Journal d’une Parisienne en Terre Sainte

Jeudi soir – Stress et valise mal fermée

Bon. Demain, on part passer Chabbat à B-Lev. À Jérusalem. Oui, Jérusalem, genre la vraie, la ville en or, les pierres millénaires et tout ça. Sauf que là, tout de suite, mon principal problème, c’est que ma valise ne ferme pas. Draps, serviettes, effets personnels, check. On m’a dit qu’il y aurait des couvertures sur place, donc j’ai décidé de ne pas sacrifier mon deuxième pull au profit d’un plaid. Priorités, hein.

Vendredi – Débarquement et premières impressions

On arrive à B-Lev et là… WAOUH. Il y a une ambiance que je n’avais encore jamais ressentie. C’est chaleureux, accueillant, et on a l’impression d’être attendues depuis toujours. Les gens nous sourient, nous posent plein de questions (“C’est votre première fois en Israël ? Vous restez combien de temps ? Ah, vous êtes en Terminale ? Bientôt le bac alors !”). J’ai failli répondre “non, on est en classe verte”, mais je me suis retenue.

16h55 – Allumage des bougies, première émotion

Moment solennel. On allume les bougies, et tout d’un coup, tout ralentit. Là, c’est le vrai début de Chabbat, et je sens une atmosphère spéciale s’installer. Un mélange de sérénité et d’excitation, un peu comme avant une fête où on sait que tout va bien se passer.

Vendredi soir – Repas et chants endiablés

18h30, place au repas. Et quel repas ! Un festin. Houmous, salades, poisson, viande, et des conversations qui fusent dans tous les sens. Les chants commencent et, franchement, je ne m’attendais pas à ça. C’est dynamique, entraînant, on tape dans les mains, et même si je ne connais pas toutes les paroles, j’essaie de suivre. Une fille à côté de moi me murmure “chante en yaourt, personne ne verra la différence”. Astuce validée.

Le Rav Chouchana prend la parole. Son Dvar Torah est hyper captivant, il raconte des anecdotes qui font réfléchir, et j’ai même rigolé plusieurs fois (ce qui est plutôt rare pour un discours religieux, avouons-le).

Après le repas, place à l’Oneg Chabbat, une sorte de veillée avec discussions et jeux. On parle de tout, on rigole, on apprend à connaître les gens, et l’ambiance est tellement naturelle qu’on se sent complètement intégrées.

Samedi matin – Tentative de réveil et café salvateur

9h30. Réveil difficile, mais l’odeur du café et des petits gâteaux me sort de mon état semi-comateux. Petit-déj rapide, puis direction le cours du Rav.

Et là, surprise. Le cours est super intéressant. On parle de choses concrètes, qui nous touchent vraiment, avec une profondeur que je n’avais jamais expérimentée. Ce n’est pas une “leçon”, c’est une vraie discussion, où on peut poser des questions, réagir, partager nos expériences.

13h00 – Repas, ambiance au top et “Team cholent” vs “Team salade”

Le repas de Chabbat est encore un moment hyper convivial. Les débats du jour : “Le cholent, c’est la meilleure invention du monde ou une hérésie culinaire ?” et “Dormir l’après-midi de Chabbat, essentiel ou optionnel ?”.

17h00 – Séouda Chlichit, le moment des confidences

On arrive à la dernière étape du Chabbat, la Séouda Chlichit. L’ambiance est différente, plus posée, plus introspective. On partage des expériences, on chante des mélodies un peu plus nostalgiques, et on sent que la fin du Chabbat approche. C’est à la fois beau et un peu triste.

18h09 – Havdala, émotion et retour au monde “normal”

La Havdala, c’est la transition entre le Chabbat et le reste de la semaine. Les lumières tamisées, le vin, les épices, le chant… C’est un moment puissant. J’ai l’impression qu’on ferme une parenthèse lumineuse et qu’on se prépare à replonger dans le quotidien, mais avec une énergie renouvelée.

Bilan du week-end : WOW.

Ce Chabbat n’était pas juste un Chabbat. C’était une expérience, une immersion, un moment de connexion profonde. J’ai rencontré des gens incroyables, j’ai ressenti quelque chose de spécial, j’ai chanté plus fort que jamais et j’ai découvert une autre façon de vivre la spiritualité.

Et puis, franchement, où d’autre qu’à Jérusalem peut-on ressentir une telle intensité ?

Un énorme merci à B-Lev pour l’accueil de dingue, l’ambiance, les sourires et les souvenirs. C’est sûr, je reviendrai.

Chabbat Chalom, et à la prochaine !

Une Soirée Mémorable en l’Honneur de Tou Bichvat avec la Jeunesse Francophone de Jérusalem

Une Soirée Mémorable en l’Honneur de Tou Bichvat avec la Jeunesse Francophone de Jérusalem

Le Centre B-lev a récemment accueilli une soirée d’exception à l’occasion de Tou Bichvat, le Nouvel An des Arbres, en collaboration avec les jeunes du Minhal HaStouDentim, une organisation rassemblant la jeunesse francophone de Jérusalem ayant fait son aliyah seul et poursuivant ses études en Israël. Cet événement, placé sous le signe du partage, de la réflexion et de la convivialité, a rassemblé près d’une centaine de jeunes dans une ambiance chaleureuse et festive.

Un Accueil Gourmand et Festif

Dès l’entrée, l’ambiance était donnée : une atmosphère détendue, des retrouvailles entre amis et de nouvelles rencontres prometteuses. Le buffet offrait un mélange exquis de saveurs et de couleurs, en parfaite adéquation avec l’esprit de Tou Bichvat.

Cocktails fruités préparés avec soin, mêlant agrumes, fruits rouges et épices pour des boissons rafraîchissantes et surprenantes.

Pizza fraîchement préparée, servie chaude, pour combiner gourmandise et simplicité.

Dessert de fruits impressionnant, composé d’un assortiment magnifique de fruits frais coupés et disposés avec raffinement : mandarines, fraises, ananas, raisins, olives, poivrons et maïs miniature, le tout sublimé par des touches de citron et de dattes.


Les jeunes, ravis par cette attention, se sont régalés tout en échangeant sur l’importance de cette fête et ses résonances dans leur propre parcours en Israël.

Une Intervention Captivante sur la Torah et l’Écologie

Après ce moment gourmand, la soirée a pris une tournure plus intellectuelle et spirituelle avec une conférence exceptionnelle donnée par Rav Sadin, en dialogue avec Rav Avraham Lemmel. Le sujet de l’intervention était à la fois actuel et intemporel :

Le rapport du judaïsme à la nature et la question de l’écologie : faut-il être écolo selon la Torah ?

L’échange s’est articulé autour de plusieurs axes majeurs, illustrant la profondeur de la pensée juive sur le sujet :

L’Arbre, Métaphore de l’Homme

Rav Sadin a débuté par un parallèle fascinant entre l’homme et l’arbre, une analogie développée par le Maharal de Prague et Maïmonide. Tout comme un arbre a besoin de racines solides, d’un tronc stable et de branches ouvertes vers le ciel, l’être humain doit s’ancrer dans ses valeurs, se structurer dans son développement personnel et s’élever vers une spiritualité authentique.

Cette vision résonnait particulièrement auprès des jeunes olim présents, qui, eux aussi, sont en pleine croissance, cherchant à s’enraciner dans leur nouvelle vie en Israël tout en s’épanouissant personnellement et spirituellement.

La Responsabilité de l’Homme envers la Nature

Ensuite, la discussion s’est portée sur le rôle de l’homme dans la préservation de la planète. La Torah insiste sur le respect de la nature et l’interdiction du bal tach’hit (le gaspillage inutile). Rav Sadin a expliqué comment cette mitzvah (commandement religieux) nous encourage à adopter une attitude responsable et respectueuse de notre environnement.

Les jeunes, sensibilisés aux questions écologiques, ont posé des questions sur les pratiques écologiques en Israël et sur la manière dont ils peuvent, en tant que juifs, concilier halakha (loi juive) et engagement écologique.

Écologie et Éthique : Un Débat Interactif

Loin d’être un monologue, la conférence s’est rapidement transformée en échange interactif et passionné, où les jeunes ont partagé leurs réflexions et interrogations. Plusieurs sujets ont émergé :

L’impact du Chabbat sur l’environnement : Un jour sans consommation excessive ni déplacement motorisé, est-ce un modèle d’écologie juive ?

La consommation responsable dans la cacheroute : Peut-on adapter notre mode de consommation tout en respectant les lois alimentaires juives ?

Le développement durable en Israël : Comment intégrer l’innovation technologique israélienne dans un mode de vie plus écologique et plus respectueux de la Torah ?


Rav Lemmel et Rav Sadin ont su rendre cet échange dynamique, en intégrant des références bibliques, talmudiques et contemporaines qui ont donné de la profondeur aux discussions.

Un Moment de Partage et d’Inspiration

Après cet échange enrichissant, la soirée s’est prolongée dans une ambiance joyeuse et fraternelle. Certains jeunes ont partagé leurs propres expériences d’aliyah, mettant en lumière les défis et les victoires de leur intégration en Israël.

Un Engagement Collectif

Plusieurs initiatives ont émergé à la suite de cette soirée :

Lancer un projet écologique commun, par exemple des plantations d’arbres en Israël.

Organiser des rencontres régulières sur des thématiques juives et environnementales.

Encourager un mode de vie plus responsable parmi les jeunes de la communauté, en limitant le gaspillage et en adoptant des habitudes plus respectueuses de l’environnement.


Une Soirée Réussie et Inspirante

La soirée Tou Bichvat au Centre B-lev restera gravée dans les mémoires comme un moment unique de rencontre, de réflexion et de partage. Les cocktails fruités et le buffet festif ont créé une atmosphère conviviale, tandis que l’intervention de Rav Sadin et Rav Lemmel a nourri les esprits.

Les jeunes sont repartis inspirés et renforcés dans leur attachement à leur héritage juif et à leur engagement en Israël. Cette soirée illustre parfaitement l’ADN du Centre B-lev : un espace de rencontre où se mêlent culture, spiritualité et convivialité, au service d’une jeunesse dynamique et engagée.

Rendez-vous l’année prochaine pour une nouvelle célébration de Tou Bichvat encore plus inspirante !

Un atelier maquillage plein de sens avec Sara Guez

Un atelier maquillage plein de sens avec Sara Guez

Hier soir, le centre B-lev a accueilli un événement unique et inspirant : un atelier maquillage animé par la talentueuse Sara Guez. Cet atelier, destiné aux jeunes femmes de 20 à 30 ans, a attiré près de 40 participantes, toutes venues découvrir comment allier beauté, astuces pratiques et réflexion spirituelle.

Plus qu’un simple atelier maquillage

Loin de se limiter à un cours technique, l’atelier de Sara Guez a offert une véritable expérience enrichissante, mêlant astuces beauté et réflexions profondes sur le lien entre la vie quotidienne et la hassidout. À travers une approche originale, chaque étape du maquillage a été présentée comme une opportunité d’introspection et de connexion avec des valeurs fondamentales.

Sara a abordé des thématiques captivantes, posant des questions telles que :

Comment le blush peut-il refléter la joie intérieure ?

Pourquoi l’eyeliner peut-il être une métaphore de l’émouna ?

En quoi prendre soin de soi peut-il renforcer l’estime de soi et la sérénité ?


Ces réflexions ont apporté une dimension spirituelle à l’atelier, permettant à chacune des participantes de repartir avec bien plus qu’un savoir-faire technique.

Une démonstration live captivante

Le point central de la soirée a été la démonstration en direct réalisée par Sara. Avec une pédagogie claire et engageante, elle a guidé les participantes pas à pas à travers les étapes d’un maquillage réussi, tout en partageant des astuces pratiques adaptées à toutes.

Parmi les points abordés :

Le teint parfait : comment choisir son fond de teint, l’appliquer uniformément et obtenir un effet naturel.

Le maquillage des yeux : quelles couleurs et techniques utiliser pour sublimer le regard.

Les lèvres : astuces pour une tenue longue durée et des finitions élégantes.


Sara a également partagé ses trucs et conseils personnels, par exemple comment optimiser ses produits pour économiser tout en obtenant des résultats professionnels. Les participantes ont apprécié la simplicité des techniques proposées, rendant le maquillage accessible, même pour celles qui n’ont pas l’habitude.

Des conseils pratiques pour bien s’équiper

L’un des aspects les plus appréciés de l’atelier a été les recommandations concrètes de Sara sur les produits de maquillage. Elle a pris le temps de dresser une liste des meilleurs produits disponibles sur le marché, en tenant compte des budgets variés. Elle a également partagé des bons plans pour acheter son matériel au meilleur prix, que ce soit en ligne ou en magasin.

Les participantes sont reparties avec des idées claires sur les produits à privilégier et où se les procurer, ce qui a ajouté une dimension pratique et utile à l’événement.

Beauté et spiritualité : un dialogue profond

Ce qui a rendu cet atelier si unique, c’est la manière dont Sara a su intégrer des enseignements de hassidout à chaque étape du maquillage. Elle a montré comment un geste aussi simple que l’application du blush ou du rouge à lèvres peut devenir une métaphore de notre quotidien.

Par exemple :

Le blush a été présenté comme un moyen de refléter la joie intérieure, rappelant que chaque jour est une opportunité de sourire et de rayonner.

L’eyeliner a symbolisé la nécessité de tracer une direction claire dans la vie, tout comme on trace une ligne nette sur ses paupières.

Le maquillage final a été associé à l’idée de clôturer chaque journée avec un sentiment d’accomplissement et de gratitude.


Ces enseignements ont offert une perspective nouvelle sur la beauté, en la reliant à des valeurs spirituelles et à une réflexion sur la manière de vivre sa vie avec intention.

Une ambiance conviviale et chaleureuse

L’atelier a également été marqué par une ambiance chaleureuse et bienveillante. Les 40 participantes, venues d’horizons différents, ont rapidement trouvé leur place dans ce cadre accueillant. Les échanges animés, les compliments et les discussions sur les astuces beauté ont créé une atmosphère conviviale, propice aux connexions et à l’entraide.

Un temps a été consacré aux questions-réponses, permettant à chacune de poser des questions spécifiques, qu’il s’agisse de techniques de maquillage ou de conseils adaptés à leurs besoins personnels. Ce moment d’interaction a renforcé le sentiment de communauté et l’impression d’avoir participé à un atelier sur mesure.

Un succès à renouveler

L’atelier maquillage avec Sara Guez a été un véritable succès, autant sur le plan technique que spirituel. Les participantes sont reparties non seulement avec des conseils pratiques, mais aussi avec une nouvelle vision de la beauté : celle qui part de l’intérieur et rayonne à l’extérieur.

Les retours enthousiastes des participantes témoignent de l’impact positif de cet événement. Chez B-lev, nous sommes fiers de proposer des initiatives innovantes, qui touchent à la fois le cœur et l’esprit. Un immense merci à Sara pour son dynamisme et sa générosité, ainsi qu’à toutes celles qui ont pris part à cette soirée.

Nous vous donnons rendez-vous très prochainement pour de nouveaux événements tout aussi inspirants. Restez connectées pour ne rien manquer !

Journal d’une débutante à B-lev

Journal d’une débutante à B-lev

Premiers jours à Jérusalem… ou comment survivre avec un oulpan, un plan approximatif et une valise qui semble avoir pris tous les cailloux de la vieille ville avec elle.

1er jour : Je suis arrivée !

Quand j’ai poussé la porte de B-lev pour la première fois, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Une sorte de séminaire pour filles ? Une auberge avec un supplément d’âme ? Mais la vérité, c’est que ça ressemblait à un mélange de tout ça, avec en bonus, un thé à la menthe qui t’accueille comme une vieille amie. Les filles étaient souriantes, et quelqu’une m’a même offert une boîte de biscuits secs. Le début de ma grande aventure commençait, et je devais m’adapter… vite.

Survivre au choc culturel
Là où les choses se sont corsées, c’est à mon premier “Shalom”. J’ai répondu “Bonjour”, ce qui a valu quelques sourires. En quelques heures, j’ai compris que “ken” ne veut pas dire “qui est là ?” et que “balagan” est une philosophie de vie. Bon, je me suis promis de ne pas m’angoisser. Après tout, n’est-ce pas pour cela que je suis venue ? Pour devenir une experte en “balagan organisé”.

Ma nouvelle maison
Ma chambre à B-lev était petite mais accueillante, avec un bureau qui semblait me dire “Écris ici tes rêves”. Et puis, il y avait les fenêtres donnant sur les rues de Jérusalem. Et cette odeur de pita chaude tôt le matin… La nuit, c’était presque mystique. Les bruits de la ville, les rires au loin…

Conclusion de ma sagesse de débutante :
Jérusalem est comme une grande énigme, mais on finit par aimer les pièces qui ne s’assemblent pas encore. Et B-lev est mon petit repère dans ce puzzle géant. C’est fou comme un thé, un sourire et un peu d’hébreu bancal donnent déjà l’impression d’être chez soi.

Et si on parlait d’intimité ? Une soirée révélatrice avec Sophie Ruth Nataf

Et si on parlait d’intimité ? Une soirée révélatrice avec Sophie Ruth Nataf

Au Centre B-lev, le silence de la nuit a été doucement troublé par les murmures et rires complices d’une cinquantaine de femmes venues explorer un sujet à la fois intime et universel : l’intimité. À travers les mots de Sophie Ruth Nataf, cette thématique souvent voilée a pris une couleur nouvelle, vibrante et lumineuse. Une soirée comme on en voit peu, à la fois profonde et chaleureuse, où spiritualité et quotidien se sont entremêlés avec justesse.

 

Quand l’intimité se raconte à travers le judaïsme

« Et si on parlait d’intimité ? » Une simple question, mais combien de réponses possibles… Sophie Ruth Nataf, avec une maîtrise éblouissante, a su donner une voix à ce sujet que beaucoup n’osent même pas murmurer.

Tout au long de cette session, elle a décrypté les enseignements du judaïsme qui, loin des clichés, réhabilitent l’intimité comme une source de connexion profonde : à soi, à l’autre, et au divin. Avec finesse, elle a alterné entre anecdotes, textes sacrés et réflexions contemporaines. Chaque mot semblait résonner avec les cœurs présents, ouvrant des portes souvent laissées fermées par pudeur ou ignorance.

 

Une soirée, mille émotions

Pour les jeunes femmes de B-lev, qui se préparent à devenir futures épouses et mamans, définir et comprendre l’intimité à ce stade de leur vie est un véritable cadeau pour leur avenir. Cette approche, empreinte de sagesse et de sensibilité, offre des outils précieux pour construire des relations solides et authentiques, tout en éclairant leur chemin vers une vie épanouie et équilibrée.

Les participantes, assises en cercle comme pour mieux se retrouver dans un cocon de confiance, ont été happées par la sincérité et la proximité de Mme Nataf. Ici, pas de leçons formelles ni de discours préfabriqués. Tout était vivant, vibratoire, palpable.

Des questions ont fusé, des rires ont éclaté, des silences ont pris racine. Ces instants suspendus, ces moments d’écoute et de partage, ont transformé cette soirée en un véritable voyage au cœur de soi. Sophie Ruth Nataf n’a pas seulement parlé d’intimité : elle l’a incarnée, l’a dévoilée dans toute sa subtilité et sa richesse.

Parmi les thématiques abordées, un moment fort a émergé autour des canons de beauté. Mme Nataf a initié une réflexion sur la subjectivité de la beauté, rappelant que chaque créature d’Hachem est belle par essence. Elle a souligné comment notre génération, façonnée par les réseaux sociaux et les illusions de Photoshop, est confrontée à des modèles souvent irréels et inaccessibles. Ce dialogue a permis à beaucoup de déconstruire les stéréotypes et de réaffirmer la valeur unique et authentique de chaque individu.

 

Un souffle d’avenir

La magie de cette rencontre laisse déjà entrevoir l’envie d’aller plus loin. Ce n’était pas une soirée parmi d’autres, mais une première pierre posée dans un dialogue essentiel. Et si on osait continuer à parler d’intimité ?

Le Centre B-lev se félicite de cette soirée d’une profondeur rare et remercie chaleureusement Sophie Ruth Nataf pour sa générosité et son inspiration. D’autres événements sont d’ores et déjà en préparation. Alors, restez à l’écoute : les portes de B-lev sont grandes ouvertes pour vous accueillir dans cette aventure d’exploration et de croissance.

Pour ne rien manquer des prochaines sessions et vous inscrire, rendez-vous sur notre site : www.b-lev.net

Journal d’une colocataire en apprentissage : Les hauts et les bas de la vie à B-lev

Journal d’une colocataire en apprentissage : Les hauts et les bas de la vie à B-lev

Nouvelle journée à B-lev… ou comment j’ai appris que cohabiter, c’est un peu comme faire une shakshouka : ça peut piquer parfois, mais avec les bons ingrédients, ça devient délicieux.

Le mystère du gâteau au chocolat disparu
Vivre à B-lev, c’est comme entrer dans une série télé : il y a des intrigues, des fous rires et, bien sûr, des disputes pour savoir qui a mangé la dernière part du gâteau. Spoiler : ce n’était pas moi… cette fois. Mais honnêtement, ça fait partie du charme. Même Sherlock Holmes aurait du mal à résoudre les mystères de notre frigo commun. Allez les filles soyez sympa, que celle qui a fini le gâteau ramène le prochain !

Entre les yaourts sans nom et les restes de houmous qui “attendent leur destin”, le frigo est un terrain d’aventures. A chaque fois après Shabbat, c’est la même histoire, on retrouve les salades et personne ne sait à qui elles sont… Qu’à cela ne tienne, on en préparera encore la semaine prochaine…

Les rêves et les chaussettes
Un soir, on s’est retrouvées à minuit, assises sur le lit de l’une d’entre nous, entourées de coussins et de… chaussettes dépareillées (l’histoire de tout sèche-linge qui se respecte). On a parlé de tout : nos rêves, nos peurs, et même de savoir si on aurait un jour le courage de traverser Yaffo sans courir. Ce sont ces moments-là qui transforment des colocs en sœurs de cœur.

Il y a toujours une de nous qui finit par raconter une histoire complètement absurde : comme celle du taxi qui l’a déposée au mauvais endroit parce qu’elle a dit “Yemin Moshe” avec l’accent d’un Français perdu. Ah les incompréhensions liées à l’hébreu… On pourrait en faire un bouquin. En attendant, on rit jusqu’à en pleurer, et parfois, c’est dans ces rires que je trouve la meilleure thérapie du monde.

Ma tentative (ratée) de cuisine israélienne
Une coloc m’a proposé de m’apprendre à faire une shakshouka. Simple, non ? Apparemment pas pour moi. J’ai brûlé les oignons, éclaboussé la cuisine, et le plat ressemblait plus à une œuvre d’art abstraite qu’à un repas. Mais on l’a mangée quand même… parce que vivre ensemble, c’est aussi rire de ses ratés (et commander une pizza en plan B).

Pour ma défense, je ne savais pas que l’huile chauffait aussi vite ici (c’est sûrement le climat, non ?). Mais maintenant, j’ai un souvenir impérissable : un fou rire collectif dans une cuisine enfumée (les autres filles ont dû venir à la rescousse…). On s’est promis de retenter l’expérience… quand je saurai enfin ne pas carboniser la coriandre.

Les joies (et les défis) du partage
Vivre en communauté, c’est aussi apprendre à négocier. Qui fait la vaisselle ? (ben tout le monde bien sûr…). Qui passe l’aspirateur ? (vive la Toranout). Et surtout, qui prend la douche en premier le matin (oui, c’est un vrai sujet  surtout quand on n’a pas le temps!) ? On a parfois nos petits désaccords, mais à la fin, tout se règle autour d’une tasse de thé ou d’un verre de limonana.

Et puis, il y a ces gestes simples qui touchent : une coloc qui te laisse un post-it sur ton bureau pour te souhaiter bonne chance avant ton examen. Une autre qui partage sa playlist israélienne parce qu’elle sait que ça te remonte le moral. Ce sont ces petites attentions qui transforment une colocation en véritable maison.

Conclusion de ma sagesse de coloc
Vivre à B-lev, c’est le chaos organisé à son meilleur. C’est apprendre à partager, à pardonner (même pour le gâteau) et à se soutenir. C’est comprendre que les différences, les accents, et même les maladresses, sont ce qui rend cette expérience unique. Et au final, c’est ça, la vraie recette du bonheur en colocation : beaucoup de rires, une bonne dose de patience, et une pincée de folie.

Journal d’une jeune exploratrice au shouk : survivre à Mahane Yehuda

Journal d’une jeune exploratrice au shouk : survivre à Mahane Yehuda

Vendredi matin à Jérusalem… et aujourd’hui, je me suis aventurée dans la jungle locale : le marché de Mahane Yehuda.
Mon objectif : acheter des fruits, des épices, et… de l’inspiration pour Shabbat. Ce que j’ai trouvé : une expérience sensorielle unique et quelques fous rires inattendus.

Le chaos organisé “à l’israélienne”
Dès que je suis arrivée, j’ai compris que j’étais entrée dans un autre monde. Les vendeurs hurlaient des prix comme s’ils tentaient de remporter un concours de décibels, les passants semblaient danser dans un ballet chaotique entre les étals, et moi, j’essayais de ne pas avoir l’air trop perdue. Astuce pour survivre : marcher vite, sourire souvent, et surtout, ne pas hésiter à dire “Ken, Toda, Sababa !” même si tu n’es pas sûre de ce qu’on vient de te proposer.

Un voyage pour les sens
Les odeurs ! Oh, les odeurs ! Mélange de coriandre, de pain chaud, de fruits secs et d’épices qui chatouillent les narines. J’ai craqué pour un mélange d’épices dorées dont je ne connais pas le nom exact (mais la vendeuse m’a juré que c’était “parfait pour le poulet” – enfin je crois que c’était ce qu’elle a dit…). Et puis, il y avait les couleurs : les oranges vibrantes des mandarines, les rouges profonds des grenades, les verts éclatants des herbes fraîches. Mahane Yehuda, c’est un peu comme si ton Instagram décidait de devenir vivant.

Le sabich de la victoire
Après avoir zigzagué entre les étals, l’estomac commençait à crier famille (il faut dire que toutes ces odeurs, ça creuse…). Je me suis donc arrêtée pour goûter un sabich – ce sandwich mythique avec de l’aubergine frite, de l’œuf dur et de la thina.
Un mot : wow. Alors que je le savourais, un vendeur m’a regardée en riant : “Motek, tu sais, ici, on ne mange jamais seule. Tu veux un café ?” On a fini par discuter cinq minutes (en un mélange de français, d’hébreu et de gestes), et je suis repartie avec un sourire et une recommandation pour la meilleure halva du marché.

Conclusion de ma sagesse de shoppeuse
Mahane Yehuda, c’est un peu comme Jérusalem elle-même : bruyant, coloré, surprenant et totalement addictif. La prochaine fois, je prendrai une valise vide pour rapporter encore plus de trésors. Et peut-être, qui sait, je réussirai à marchander sans rougir. Un jour.

Journal d’une jeune fille presque équilibrée à B-lev

Journal d’une jeune fille presque équilibrée à B-lev

8 mois en Israël… Qui aurait cru que je survivrais si longtemps sans la baguette croustillante de ma boulangerie parisienne ?
Pourtant, me voilà, entre études, boulot, cafés à Ben Sira et soirées où on refait le monde avec les filles de B-lev.
Trouver l’équilibre entre tout ça, c’est un peu comme marcher sur une corde raide en talons. Pas impossible, mais ça demande un peu de pratique.
Alors comment faire?

1. Planifier, mais avec style
Chaque dimanche matin (oui, c’est lundi ici, mais on s’y fait), je prends mon café chez Nadi au coin de la rue et je planifie ma semaine.
Cours de Torah le lundi, oulpan le mardi et petit boulot en free-lance le mercredi, sans oublier les super activités à chaque Rosh Hodesh…
L’idée ? Toujours garder un petit espace pour l’imprévu, parce qu’en Israël, les plans changent plus vite que les lumières des feux tricolores.

2. Le travail, c’est bien… mais pas trop
Je bosse en tant qu’assistante marketing à distance. Ça sonne chic, non ? En réalité, ça veut surtout dire jongler entre les appels Zoom et les tentations de ma coloc qui propose de faire un tour au shouk.
Mon secret ? Je me fixe des créneaux “boulot” comme si c’était un vrai bureau. Et après, hop, je me récompense avec une balade sur les remparts de la vieille ville ou une session papotage avec les filles dans la cuisine commune.

Petit rappel à moi-même : Les deadlines sont importantes. Mais un bon thé à la menthe sur le canapé du 3ème n’attend pas.

3. Les études, c’est du sérieux (ou presque)
L’oulpan est mon défi quotidien. L’hébreu et moi, on n’est pas encore meilleurs amis, mais on apprend à se tolérer. Le truc, c’est de s’amuser avec. Alors, je glisse un mot ou deux en hébreu dans mes conversations avec mes colocs, et parfois, elles me corrigent gentiment… ou explosent de rire. Apparemment, j’ai dit à la boulangère que je voulais “épouser” un pain au chocolat.

Conseil bonus : Écouter de la musique israélienne. Eyal Golan, Ishai Ribo… Non seulement ça te fait réviser, mais en plus, tu as de quoi briller sur la piste de danse.

4. Ateliers divers et variés pour éveiller nos esprits

Merci B-lev pour les ateliers inspirants où je découvre à chaque fois une nouvelle façon de développer mon potentiel. Entre soirées d’Hafrashat halla, création de bougeoirs et activités artistiques, on ne s’ennuie jamais.

5. Profiter, tout simplement
Parce qu’au final, l’équilibre, ce n’est pas que dans les plannings. C’est dans les moments où tu te laisses porter. Une soirée à rire aux éclats avec les filles du séminaire. Une escapade improvisée à Tel Aviv pour tremper les pieds dans l’eau. Et même ces petites discussions avec Léa, quand elle te demande si tu as pu préparer Shabbat comme il faut (et qu’en fait, tu es allée rapidement chez le traiteur mais que ta coloc t’a sauvée la vie…).

Conclusion de ma sagesse de fille de 25 ans (qui n’a toujours pas tout compris) :
L’équilibre, ce n’est pas une destination, c’est un chemin. Un chemin semé de hummus, de fous rires, de moments de doute, et de beaucoup d’amour. Alors, à toi, mon futur moi qui relira ce journal : Respire. Tu es exactement là où tu dois être.

PS : Ne finis pas le pot de glace dans le congélo, laisse-en un peu pour ta coloc.

Tel Aviv, c’est un peu la ville où tu peux être à la fois branchée et fidèle à tes racines.

Tel Aviv, c’est un peu la ville où tu peux être à la fois branchée et fidèle à tes racines.

Pour les filles de B-lev, la ville est un véritable terrain de jeu : entre cafés hype, boutiques cool et plages ensoleillées, il y en a pour tous les goûts. Alors, prête à découvrir Tel Aviv autrement?

1.⁠ ⁠Le Shuk HaCarmel

Le marché Carmel, c’est un véritable “balagan” (désordre joyeux), où l’odeur des épices et des produits frais te chatouille les narines à chaque coin de rue. Entre les étals de falafel, les olives en veux-tu en voilà et les fruits locaux qui explosent de saveurs, bienvenue au cœur de Tel Aviv où traditions et modernité s’entremêlent. C’est l’endroit idéal pour goûter à la culture locale et t’imprégner de l’ambiance trépidante de la ville. Attention, les tentations sont partout ! Un vrai concentré de Tel Aviv, à savourer sans modération !
Adresse: Rue HaCarmel
Itinéraire depuis B-lev : 15 minutes à pied.

2.⁠ ⁠Le parc HaYarkon
Le parc HaYarkon, c’est un peu le poumon vert de Tel Aviv, le spot parfait pour une pause nature entre deux cafés et trois rendez-vous au bureau. Si tu cherches à allier un peu de sport, de calme et une bouffée d’air frais (sans quitter la ville, évidemment), c’est l’endroit rêvé ! Ici, tu peux courir, faire du vélo ou même t’installer pour une séance de yoga en bord de rivière. Et, bien sûr, tu trouveras aussi des coins tranquilles, notamment si tu souhaites profiter d’un moment de paix avant le shabbat. Un lieu idéal pour se ressourcer !
Adresse : Rokach Blvd
Itinéraire depuis B-lev : une demi-heure en bus

3.⁠ ⁠Les plages de Tel Aviv

Envie d’un moment de détente sous le soleil méditerranéen ? Hilton Beach est le spot parfait. C’est un peu la plage “chill” de Tel Aviv, avec une ambiance plus tranquille et respectueuse, surtout en fin de semaine avant le shabbat.

Un peu plus proche de B-lev, on te conseille aussi la plage Gordon. Bronzage, baignade et construction de châteaux de sable sont au programme. Et si tu préfères juste le bain de soleil, emporte un bon bouquin et les raquettes pour une partie de matkot, et c’est parti pour une après-midi de folie!

Adresses: 205 HaYarkon St
Itinéraire depuis B-lev :
Hilton Beach : 25-30 minutes à pied ou 10-15 minutes en bus
Plage Gordon : 15 minutes en bus.

4.⁠ ⁠Le musée d’Art de Tel Aviv

Si tu veux nourrir ton âme (et ton côté “artiste branchée”), direction le musée d’Art de Tel Aviv !), ce musée est un véritable bijou. C’est l’endroit parfait pour passer une après-midi culturelle, tout en restant fidèle à l’ambiance de la ville : un mélange d’ultra-modernité et de traditions. Et si tu n’es pas une grande amatrice d’art, pas de panique : le café du musée est aussi un excellent endroit pour siroter un café et observer les dernières tendances locales. Et en prime, profite des soirées gratuites pour les jeunes ou des expositions temporaires !

Adresse: 27 Shaul Hamelech Blvd.
Itinéraire depuis B-lev : environ 25 minutes à pied ou 15 min en tram

5.⁠ ⁠Neve Tsedek

Un quartier branché où le passé rencontre le présent avec style. Flânez dans ses rues pittoresques, admirez les galeries d’art et buvez un café comme un vrai Tel Avivi.

Adresse : Sud-ouest de Tel Aviv
Itinéraire depuis B-lev : 10 minutes à pied. Vous pourriez même croiser des artistes en herbe!

6.⁠ ⁠Bld Rothschild

L’incontournable à deux pas de B-Lev ! Cette rue est l’un des endroits les plus animés de Tel Aviv, parfaite pour une sortie entre amies ou pour rencontrer d’autres jeunes en quête de vibes modernes et sophistiquées. Bordée de cafés stylés, de bars sympas et de restaurants, c’est l’endroit où tu peux savourer un brunch trendy. Le mélange de l’architecture Bauhaus, des boutiques chics et des petites terrasses ensoleillées en fait un spot à ne pas manquer !

Adresse : Bld Rothschild
Itinéraire : quelques minutes à pied au bout de la rue !

7.⁠ ⁠Neve Tsedek

Neve Tsedek, c’est le quartier bohème de Tel Aviv. Avec ses ruelles pavées, ses petites boutiques artisanales et ses cafés cosy, c’est l’endroit parfait pour une pause tranquille tout en explorant le côté plus intime de la ville. On y trouve des galeries d’art, des boutiques de créateurs. Si tu veux t’échapper de l’agitation urbaine tout en restant fidèle à l’esprit local, Neve Tsedek est un must.

Adresse : Shabazi Street
Itinéraire depuis B-lev : 10-15 min à pied

8.⁠ ⁠Centre Kalisher

Entre cours de Torah, dîners de shabbat, activités et rencontres inspirantes, le centre Kalisher à 5 min de B-Lev te permettra de rencontrer plein d’autres jeunes dans une atmosphère chaleureuse et décontractée. Un vrai enrichissement culturel dans la ville qui ne dort jamais!

Adresse : Kalisher 27
Itinéraire depuis B-lev : 5 min à pied